De cinq à sept

Lundi 15 juin 1 15 /06 /Juin 19:51

Mais avant de vous narrer l'expérience avec un sextoy, je voulais vous raconter une autre expérience, tout aussi excitante. 

 

Je la retrouve, un après-midi dans son appartement, et nous décidons de passer directement à l'action. Aussitôt dit, aussitôt fait ! Nous voici dans la chambre, complètement nus. Tout se déroule, comme d'habitude, c'est-à-dire dans une ambiance détendue, délicieusement agréable. Nous savourons avec délectation le moment présent. Si ce n'est, qu'après quelques échauffements, je vais tenter une approche plutôt inhabituelle. Pour vous aidez à imaginer la scène, je suis allongé sous elle, en train de la culbuter avec fougue, la tête au milieu de ses énormes seins. Mes mains descendent le long de son dos, roulent sur ses hanches généreuses, pour ensuite venir pétrir ses magnifiques fesses. Avec l'index, que je viens humidifier autour de sa vulve, je vais le faire glisser tout autour de son orifice offert, encore vierge de ma queue. C'est au tour de mon majeur de prendre le relais, il vient s'enfoncer peu à peu, dans son anus. Elle gémit encore plus fort. 

 

Incontestablement, cette initiative ne lui déplaît pas, bien au contraire. ! Je continue...

 

Pour reprendre mon souffle, je ralenti le rythme de cette chevauchée. Je poursuis mon approche en lui écartant les fesses. A présent, mon doigt s'immisce plus profondément. Ce lieu encore inconnu devient davantage praticable, à tel point qu'il se lubrifie de plaisir, se dilate progressivement. Après quelques minutes, elle me glisse à l'oreille : "Prends-moi !". Immédiatement, je la mets à quatre pattes et me positionne derrière elle, la queue gonflée comme elle ne l'a jamais été à l'idée de ce qui l’attend. Joueur, je fais glisser à plusieurs reprises, mon gland le long de sa raie. L'excitation étant à sa comble, je ne peux résister de l'enfiler délicatement. Le plus difficile est d'insérer mon gros gland, le reste passera tout seul. Timidement, agrippé à ses hanches, je force davantage. Je l'entends gémir à nouveau, ça y est, il est passé. Je sens son anus se contracter autour de mon sexe, c'est divin. Avec hâte, je commence à jouer du bassin. Très rapidement, elle se détendra et je pourrais alors me donner à fond, dans cette intense et sensationnelle incursion anale. 

 

Pour vous démontrer à tel point j'étais excité, alors qu'elle venais de jouir, je n'ai pu me retirer à temps pour éjaculer comme prévu sur le bas de ses reins. J'ai alors joui surpris, couvert subitement d'un léger sentiment de honte, en elle. Quelques secondes après, le sperme blanchâtre, onctueux sortira telle une source de son beau petit cul ambré !

Par Doudou - Publié dans : De cinq à sept
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Jeudi 4 juin 4 04 /06 /Juin 22:07

Après avoir consommé avidement les différentes situations qui nous excitaient mutuellement, il me fallait trouver une nouvelle piste pour élargir nos expériences sexuelles. Rapidement, je me suis orienté vers un gode. Vous savez ces jouets intimes à la mode, de formes diverses et variés, aussi bien réalistes qu'étranges. A vrai dire, je n'ai jamais eu l'occasion d'utiliser un tel objet avec une partenaire. Je me devais, inévitablement, de combler cette lacune. 

 

Immédiatement, j'ouvre mon navigateur Internet préféré (même si cela ne vous intéresse pas, c'est Mozilla Firefox, que je vous recommande chaudement) pour faire une recherche sur Google afin de trouver un site commercial me paraissant relativement sécurisé et sérieux. Ensuite, il me fallait encore faire mon choix parmi la pléthore d'articles disponibles. A priori, je vais éviter pour ne pas l'affoler (du moins pour la première fois), les énormes queues très ressemblantes (merci les hardeurs !), les doubles godes et autres vibromasseurs. En définitive, j'ai opté pour celui-ci : le Dong "Alien Jelly". Il est bleu, d'une texture douce, flexible, translucide et, j'allais oublier recto-verso. Concrètement, et vous l'aurez bien compris, on peut introduire utiliser les deux extrémités mais le plus, si je puis dire, c'est qu'ils sont de tailles différentes. Ce qui offre indéniablement plus de possibilité.

 

Une dizaine de clic plus tard, je valide la commande et je le reçois par la poste en fin de semaine. En le déballant, je réfléchis déjà à savoir comment je vais pouvoir l'utiliser. Vous en saurez davantage dans un prochain billet...

Par Doudou - Publié dans : De cinq à sept
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Samedi 30 mai 6 30 /05 /Mai 09:41
De temps en temps, c'est vraiment agréable de se faire un quicky. Pour les mauvais élèves, au fond de la classe, je vous rappelle que ce terme est utilisé dans l'excellent bouquin de John Gray ; Les hommes viennent de Mars et les femmes viennent de Vénus. Le quicky se situe entre le fait maison et le repas gastronomique. Il a pour avantage d'aller droit au but, sans passer par toutes les (interminables) étapes préalables !

Après de longs mois d'abstention, nous décidons enfin de se fixer un rendez-vous. Nous étions ce jour-là, très excités à l'idée de se retrouver. Mais vraiment très excités, plus que d'habitude. L'arrivée de cette douce chaleur qui accompagne les premières journées d'été, dans notre belle région en bord de mer, doit certainement y être pour quelque chose. Une fois passé le seuil de la porte, je me sens spontanément tout émoustillé, fébrile, enflammé.

Allongée sous le drap, nue, elle essai de sortir lentement de son état de somnolence, tout en étirant ses membres. Ce léger tissu couvre uniquement ses fesses. Admirant la scène, je me débarrasse immédiatement des vêtements. Ma queue, telle une boussole, pointe fièrement et sûrement vers son objectif. Je m'approche délicatement du lit, elle sent ma présence et commence à ouvrir ses cuisses. Sa vulve offerte, abondamment mouillée m'appelle. Après avoir parcouru son corps, des mollets au dos, avec de tendres baisers, j'insère hâtivement mon sexe dans son intimité. Nous gémissons de concert à chaque coup de reins. Avec ma langue, je lui lèche la nuque et le lobe des oreilles, elle adore ça ! J'ai pour habitude de varier, autant que possible les positions, mais cette fois-ci nous sommes restés dans la même du début à la fin. Si ce n'est qu'à un moment donné, elle a relevé légèrement sa croupe pour que je puisse m'introduire plus profondément et plus violemment en elle. Ce jour-là, j'ai ressenti un plaisir inouï car nous avons, pour clôturer cet épisode torride, joui simultanément...
Par Doudou - Publié dans : De cinq à sept
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Jeudi 14 mai 4 14 /05 /Mai 21:28
Depuis quelques mois, je lui demandais en vain par courriel, sans insistance, de bien vouloir se raser complètement le minou. Vous allez me dire c'est encore un fantasme de mec. Habituellement, j'apprécie particulièrement sa façon de tailler sa toison. En général très courte, formant un petit triangle mais jamais rasée. Je voulais tester exceptionnellement cette expérience. Cettefois-ci, elle a (enfin) accepté... En contre parti, elle me demandera de venir butiner son abricot, toute habillée. 
Un mardi matin, je me présente à son appartement. Comme d'habitude, la porte est ouverte. J'entre et je la referme machinalement à clé. Une fois le couloir passé, je l'aperçois dans le salon vêtue d'une robe lui arrivant au dessous des genoux, légère, aux couleurs vives qui nous signale que le printemps est bel et bien là. Derrière elle, se trouve une baie vitrée, qui me permet de voir par transparence sa silhouette plantureuse. Sans hésiter une seconde, je m'approche vers cette charmante créature pour la serrer fort dans mes bras, l'embrasser tendrement, mordiller ses douces lèvres, glisser ma langue dans sa bouche pour enlacer la sienne. 

Comme convenu, peu de temps après, elle posa délicatement un pied sur la table basse, écartant ainsi ses cuisses. Mon petit doigt (etvi , encore lui) me dit qu'elle souhaiterait que j'aille voir plus bas. Sans me faire prier, me voici immédiatement à genoux, à ses pieds. Je me glisse sous sa robe. L'odeur enivrante de son sexe humide se fait déjà sentir. Avec ma langue, je remonte le long de sa jambe droite, profitant pleinement de sa peau de velours. Une fois arrivé à la hauteur de son abricot, je me rend compte, à ma grande surprise, qu'elle ne porte pas de culotte (et oui, c'est encore un de mes fantasme). Il n'en faut pas moins pour m'exciter et ainsi réveiller mes instincts primaires ; ma queue se met immédiatement à prendre du volume. Je dépose rapidement une paire de baiser sur sa peau toute lisse. A présent, je m'attaque à l'autre jambe, au cas où elle soit jalouse, accompagnant de caresses ses larges hanches. Subitement, je saisis à pleines mains ses fesses et lui mange goulûment sa chatte, vierge de tout poil. Elle ne put retenir un gémissement de satisfaction. A tel point qu'elle jouit une première fois suite à cet assaut, inattendu quant à sa rapidité d'exécution. Continuant de lécher avec grand bonheur ses grandes lèvres, je lui écarte maintenant les fesses pour venir lui titiller son cul avec mon index. Sans vraiment m'immiscer mais en venant simplement l'effleurer. Dans un second temps, le tempo se ralentit. Il est temps de passer le bout de ma langue sur sonclito , de jouer avec. Effectivement, c'est à cet instant que j'ai réellement apprécié le fait qu'elle soit rasée et je l'ai vraiment savouré à sa juste valeur. Suite à cette agréable découverte, je me suis attardé plus longuement que prévu à cet endroit, pour son plus grand plaisir. Enfin, j'introduis deux doigts à l'intérieur de son vagin trempé. Je débute classiquement par de petits mouvements de va-et-vient, plus ou moins rapides, pour finir par lui toucher précisément le haut de sa cavité, entièrement offerte. Avec l'autre main, j'écarte sans plus attendre ses lèvres pour venir laper de bas en haut ce fruit rose exquis. Elle ne tardera pas à pousser de petits cris de jouissance tout en m'arrosant la bouche grande ouverte de son appétissant liquide.
Que j'aime me retrouver entre ses cuisses, de pouvoir maîtriser (autant que possible) à mon gré, son plaisir. C'est l'avantage de la connaître depuis bien longtemps sous toutes les coutures. Bien évidemment, je n'oublierai jamais ce succulent moment.
Par Doudou - Publié dans : De cinq à sept
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Vendredi 1 mai 5 01 /05 /Mai 08:12

Les volets sont fermés, la chambre est arrosée d'une belle lumière tamisée mauve. Cet effet provient d'un léger voile déposé sur une lampe de chevet. Elle me saisit alors par le bras et me pousse à m'allonger sur le matelas. Un foulard noir se trouve sur la table de nuit. Avant que je ne l'a touche, elle le prend pour m'attacher fermement les poignets. Surpris, je me laisse faire. Une fois le nœud effectué, la voilà qu'elle le relit au montant du lit. Contrairement à ce que je pensais, la mise en scène n'était pas terminée. Soudainement, elle se saisit d'un autre foulard pour me bander les yeux. Me voici dans une position bien inconfortable, surtout lorsque l'on a l'habitude d'agir à sa guise avec ses mains et d'observer le spectacle. 
 

Doucement, ses lèvres effleurent les miennes, nous nous embrassons langoureusement. Bien entendu, je ne peux lui saisir la tête, lui caresser les cheveux, le visage. C'est elle qui s'en charge. Uniquement au touché, elle déboutonne ma chemise et l'ouvre autant que possible. Sa main parcourt mon torse, puis descend sur le bas de mon ventre. Une intuition me dit que ma ceinture ne va pas faire long feu. Quelques secondes après, mon jean subira le même sort. Je me concentre sur ces nouvelles sensations pour profiter pleinement de cette inhabituelle, mais très plaisante, expérience. Mon sexe ne tardera pas à bander fièrement, elle le pelote avec ses doigts tout en passant sa langue sur mes tétons. Hum, comment résister à cet assaut ? A présent, ses mains glissent sur mes jambes, et vont courir jusqu'à mes orteils. Voyant mon sexe frémir sous le caleçon blanc, que j'avais délibérément choisi moulant pour l'occasion, elle le saisit entre ses dents pour me le retirer et ainsi libérer ma queue, qui pour le coup, se dresse droite comme un piquet. Délicatement, je sens des baisers se déposer sur mes pieds, mes chevilles, mes genoux... Je me détends et me laisse entièrement aller. Evidemment, que je meurs d'envie de lui rendre la pareille, mais je suis bel et bien soumis à ses désirs. De brefs coups de langue viennent caresser mes couilles, me coupant ainsi net le souffle. Avant que je ne retrouve ma respiration, je les sens dans un orifice chaud et humide. Apparemment, elles sont à présent dans sa bouche. Quelle agréable surprise. J'ai l'impression que mon sexe va exploser de plaisir. 
 

Ensuite, je sens à nouveau ses lèvres charnues contre les miennes, me mordillent les lèvres tout en me tripotant le sexe à pleine main. Des mouvements réguliers viennent le faire gonfler davantage, et pour couronner le tout, sa bouche viendra gober littéralement mon gland. Conscienseusement, elle le suce jusqu'à le faire disparaitre intégralement dans sa bouche. Plus tard, sa langue tendue viendra s'enrouler autour de ma queue, pour terminer en la léchant de haut en bas et inversement.
 

Sans aucun doute, elle a gagné la première partie. Je ne sais à quel moment elle s'est déshabillée, mais subitement elle décide de s'empaler, sans fioriture, sur ma bite. A ce moment, j'ai faillit jouir, tellement le plaisir était intense. Vite, il me faut penser à autre chose ;o) Énergiquement, son corps va-et-vient, à vitesse irrégulière, contre le mien. Pour commencer, elle s'accroupit, je ne pouvais donner que de léger coup de hanche. Par la suite, elle se pencha légèrement, pour venir se mettre à genoux sur moi. Enfin, je pouvais à volonté, la pénétrer vigoureusement. Imaginez quelle fut ma frustration à ce moment, car il m'était impossible de lui agripper les hanches, de lui manger les tétons, d'admirer son visage détendu et heureux. Ses généreuses fesses claquèrent contre mes cuisses, ses magnifiques et énormes seins venaient me titiller le torse. A plusieurs reprises, je l'ai senti jouir. Comment le remarquer, me direz-vous ? C'est simple, elle s'arrête quelques secondes puis brutalement la voilà prise de légères convulsions. C'est tellement savoureux ! Pour conclure, elle se remit dans la position initiale mais cette fois-ci en saisissant délicatement, avec quelques doigts, ma verge. Inutile de vous préciser qu'à ce niveau d'excitation, il ne m'a pas fallut longtemps pour évacuer tout le sperme que j'avais accumulé depuis une semaine. Enfin, elle me libéra de mes liens et je pouvais disposer à volonté de mes mains...

Par Doudou - Publié dans : De cinq à sept
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  • Doudou
  • Jeune homme d'une trentaine d'années, partagé entre le désir de se dévoiler et de se faire découvrir.

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