De temps en temps, c'est vraiment agréable de se faire un quicky. Pour les mauvais élèves, au fond de la classe, je vous rappelle que ce terme est utilisé dans l'excellent bouquin de John Gray ; Les hommes viennent de Mars et les femmes viennent de Vénus. Le quicky se situe entre le fait maison et le repas gastronomique. Il a pour avantage d'aller droit au but, sans passer par toutes les (interminables) étapes préalables !

Après de longs mois d'abstention, nous décidons enfin de se fixer un rendez-vous. Nous étions ce jour-là, très excités à l'idée de se retrouver. Mais vraiment très excités, plus que d'habitude. L'arrivée de cette douce chaleur qui accompagne les premières journées d'été, dans notre belle région en bord de mer, doit certainement y être pour quelque chose. Une fois passé le seuil de la porte, je me sens spontanément tout émoustillé, fébrile, enflammé.

Allongée sous le drap, nue, elle essai de sortir lentement de son état de somnolence, tout en étirant ses membres. Ce léger tissu couvre uniquement ses fesses. Admirant la scène, je me débarrasse immédiatement des vêtements. Ma queue, telle une boussole, pointe fièrement et sûrement vers son objectif. Je m'approche délicatement du lit, elle sent ma présence et commence à ouvrir ses cuisses. Sa vulve offerte, abondamment mouillée m'appelle. Après avoir parcouru son corps, des mollets au dos, avec de tendres baisers, j'insère hâtivement mon sexe dans son intimité. Nous gémissons de concert à chaque coup de reins. Avec ma langue, je lui lèche la nuque et le lobe des oreilles, elle adore ça ! J'ai pour habitude de varier, autant que possible les positions, mais cette fois-ci nous sommes restés dans la même du début à la fin. Si ce n'est qu'à un moment donné, elle a relevé légèrement sa croupe pour que je puisse m'introduire plus profondément et plus violemment en elle. Ce jour-là, j'ai ressenti un plaisir inouï car nous avons, pour clôturer cet épisode torride, joui simultanément...