Les volets sont fermés, la chambre est arrosée d'une belle lumière tamisée mauve. Cet effet provient d'un léger voile déposé sur une lampe de chevet. Elle me saisit alors par le bras et me pousse à m'allonger sur le matelas. Un foulard noir se trouve sur la table de nuit. Avant que je ne l'a touche, elle le prend pour m'attacher fermement les poignets. Surpris, je me laisse faire. Une fois le nœud effectué, la voilà qu'elle le relit au montant du lit. Contrairement à ce que je pensais, la mise en scène n'était pas terminée. Soudainement, elle se saisit d'un autre foulard pour me bander les yeux. Me voici dans une position bien inconfortable, surtout lorsque l'on a l'habitude d'agir à sa guise avec ses mains et d'observer le spectacle. 
 

Doucement, ses lèvres effleurent les miennes, nous nous embrassons langoureusement. Bien entendu, je ne peux lui saisir la tête, lui caresser les cheveux, le visage. C'est elle qui s'en charge. Uniquement au touché, elle déboutonne ma chemise et l'ouvre autant que possible. Sa main parcourt mon torse, puis descend sur le bas de mon ventre. Une intuition me dit que ma ceinture ne va pas faire long feu. Quelques secondes après, mon jean subira le même sort. Je me concentre sur ces nouvelles sensations pour profiter pleinement de cette inhabituelle, mais très plaisante, expérience. Mon sexe ne tardera pas à bander fièrement, elle le pelote avec ses doigts tout en passant sa langue sur mes tétons. Hum, comment résister à cet assaut ? A présent, ses mains glissent sur mes jambes, et vont courir jusqu'à mes orteils. Voyant mon sexe frémir sous le caleçon blanc, que j'avais délibérément choisi moulant pour l'occasion, elle le saisit entre ses dents pour me le retirer et ainsi libérer ma queue, qui pour le coup, se dresse droite comme un piquet. Délicatement, je sens des baisers se déposer sur mes pieds, mes chevilles, mes genoux... Je me détends et me laisse entièrement aller. Evidemment, que je meurs d'envie de lui rendre la pareille, mais je suis bel et bien soumis à ses désirs. De brefs coups de langue viennent caresser mes couilles, me coupant ainsi net le souffle. Avant que je ne retrouve ma respiration, je les sens dans un orifice chaud et humide. Apparemment, elles sont à présent dans sa bouche. Quelle agréable surprise. J'ai l'impression que mon sexe va exploser de plaisir. 
 

Ensuite, je sens à nouveau ses lèvres charnues contre les miennes, me mordillent les lèvres tout en me tripotant le sexe à pleine main. Des mouvements réguliers viennent le faire gonfler davantage, et pour couronner le tout, sa bouche viendra gober littéralement mon gland. Conscienseusement, elle le suce jusqu'à le faire disparaitre intégralement dans sa bouche. Plus tard, sa langue tendue viendra s'enrouler autour de ma queue, pour terminer en la léchant de haut en bas et inversement.
 

Sans aucun doute, elle a gagné la première partie. Je ne sais à quel moment elle s'est déshabillée, mais subitement elle décide de s'empaler, sans fioriture, sur ma bite. A ce moment, j'ai faillit jouir, tellement le plaisir était intense. Vite, il me faut penser à autre chose ;o) Énergiquement, son corps va-et-vient, à vitesse irrégulière, contre le mien. Pour commencer, elle s'accroupit, je ne pouvais donner que de léger coup de hanche. Par la suite, elle se pencha légèrement, pour venir se mettre à genoux sur moi. Enfin, je pouvais à volonté, la pénétrer vigoureusement. Imaginez quelle fut ma frustration à ce moment, car il m'était impossible de lui agripper les hanches, de lui manger les tétons, d'admirer son visage détendu et heureux. Ses généreuses fesses claquèrent contre mes cuisses, ses magnifiques et énormes seins venaient me titiller le torse. A plusieurs reprises, je l'ai senti jouir. Comment le remarquer, me direz-vous ? C'est simple, elle s'arrête quelques secondes puis brutalement la voilà prise de légères convulsions. C'est tellement savoureux ! Pour conclure, elle se remit dans la position initiale mais cette fois-ci en saisissant délicatement, avec quelques doigts, ma verge. Inutile de vous préciser qu'à ce niveau d'excitation, il ne m'a pas fallut longtemps pour évacuer tout le sperme que j'avais accumulé depuis une semaine. Enfin, elle me libéra de mes liens et je pouvais disposer à volonté de mes mains...